6 PHRASES qui remontent le MORAL lors des coups de blues

6 PHRASES qui remontent le MORAL lors des coups de blues

On ne va pas dire que janvier est un mois totalement fabuleux… Personnellement j’ai l’impression d’être une barrique qui traîne ses restes de dindes et de marrons mous, je n’en peux plus de partir de nuit au boulot, d’observer un ciel gris/noir toute la journée et de rentrer de nouveau dans l’obscurité dès la fin de journée…

Tout le monde nous gonfle avec les bonnes résolutions 2018, du coup, moi je culpabilise de ne pas en avoir pris une seule et je me mets des challenges à la con genre « Cette semaine, pas de Comté ! », du coup ça me rend encore plus triste et ajoute une couche à mon moral en berne.

Heureusement, j’ai une amie ultra positive qui me sort toujours des phrases requinquantes…

1. Personne ne meurt à la fin

Elle me sort ça tout le temps, mais franchement, c’est vrai qu’il n’y a pas mieux comme redescente de bad trip : c’est vrai que personne ne va mourir parce que je n’ai pas fini de traiter ce dossier ; c’est vrai aussi que personne ne va mourir parce que j’ai pris deux kilos…

Ça m’a pas mal aidé à relativiser : chaque fois que j’ai une dose de haine stressante qui monte en mois, je me dis « Allez, personne ne va mourir à la fin. » Ca recadre.

2. Mais c’est que le boulot !

C’est vrai qu’à force de mails URGEEEEEEEENTS hurlés à tue-tête sur les boites mails et de « missions ultra prio », j’ai fini par nager dans un magma de tâches étranges qui me faisait croire détenir de la kryptonite entre les mains.

Et puis en fait, quand on me sort « Mais c’est bon détends-toi c’est que du boulot. » j’ai un petit temps d’arrêt. Je m’apprête à bondir « Mais ça va pas tu te rends pas compte on a eu une galère diiiingue avec un client ! » et puis finalement je respire et me dis « Ah oui c’est vrai, je ne sauve pas le monde, et c’est pas grave finalement si ce n’est traité que demain, car personne ne meurt à la fin. »

3. Regarde un chaton !

Non c’est vrai que ça marche sur moi : il suffit qu’on me tende une vidéo de chaton en train de jouer avec un chiot et je me mets à avoir deux ans et demi.

On ne pense pas assez au pouvoir des chats mais il faudrait vraiment se faire un petit stock de vidéos dans son téléphone à sortir en cas de sombre fumier qui nous ruine le moral. Encore mieux, en avoir un en vrai, et le regarder vivre, des heures durant… Tout problème s’évapore.

4. J’ai faim

Ma pote sait me parler. Je rumine, je tourne en rond, j’ai envie de rien, et là elle me sort : « J’ai faim. Burger ? »

Rah elle est forte. Instantanément je me transforme en petit animal sauvage qui ne pense qu’à sustenter ses besoins primaires. Et ça va beaucoup mieux après s’être roulée dans un plat de frites.

Toujours penser à ses besoins primaires.

5. Prends Polochon et mets-toi du vernis

Polochon, c’est une grosse peluche à la tête joviale. C’est vrai que le regarder fait du bien, un peu comme regarder un chien dans le métro, avec ses yeux globuleux.

Et faire des choses futiles qui vident la tête a le don de me remonter le moral : passer une heure à soigner manucure et pédicure est tout à fait satisfaisant. Ensuite je marche pieds nus sur mon parquet et je vois mes pieds tout beaux et mes mains toutes choyées. Ça me donne un côté « grande dame au collier de perles », toujours impeccables, et ça met du baume au cœur.

6. Viens on s’en fout

N’y va pas, ne réponds pas, ne regarde pas… Oui parfois faire la truite endormie, c’est bien.

Décider de caler cette information dans la case « poubelle cérébrale » est salvateur. J’ai pris l’habitude de jeter pas mal de choses dans cette poubelle interne, ça n’a tué personne mais ça a épargné mon estomac des ulcères.

 

Moral à zéro, out.

LP.

 

 

 

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