Les PIRES GALERES des BEAUX jours #LoinDeMoiGensTranspirants

Les PIRES GALERES des BEAUX jours #LoinDeMoiGensTranspirants

Il fait beau, les gens courent en terrasse, le ciel est bleu… Oui oui, c’est bien beau tout ça, mais c’est bien souvent un sombre enfer…

Les transports en commun deviennent une fournaise impraticable, la moindre bise ressemble à un échange de bactéries suintantes et la moindre chaise nous dit : « Viens viens que je te fasse de vilaines marques sur tes cuissots… »

Franchement, à ce prix-là : vivement l’hiver.

1. Le cheveu assassin

C’est simple, on se fait suer à entretenir tout l’année sa crinière pour qu’elle veuille simplement nous tuer en été.

Nos cheveux se transforment en paille, se collent sur notre front humide et nous donnent l’impression de porter un gros bonnet en laine tout l’été.

On finit même par envier la calvitie de notre mec et on se demande si on ne va pas tout couper (et parfois on le fait, et on regrette très fort…)

2. La moiteur ambiante

On transpire TOUT LE TEMPS. C’est un enfer, on a l’impression de baver de la transpiration tellement on est moite. La transpiration des autres semble même se coller à nous.

On pose une cuisse deux minutes sur un canapé, bim on glisse ; on pose son coude sur la table, bim, on fait une trace ; on sert une main, bim, contagion de transpi ; on dort, bim réveil en eau.

La transpiration est partout et à part lorsqu’on a un point d’eau géant de type piscine ou océan : on ne peut pas supporter cette chaleur !

3. La peur du sport

En hiver on n’a pas peur de se taper un petit sprint pour éviter la pluie ou se réchauffer.

En été ? Chaque pas est une souffrance. On a même peur de rire au cas où ça nous échaufferait un peu trop.

4. La crispation de l’aisselle

Que ce soit celle du voisin dans le métro ou notre propre aisselle : on n’est pas serein.

On se douche, on s’asperge on se sent fraiche et trois pas deux métros plus tard : elle part en vrille. Franchement il faudrait une option aération d’aisselle pendant les beaux jours, ce n’est pas décent de devoir supporter ça.

5. Le doute du blanc

Oh tiens du blanc ? Mais oui du blanc pour l’été c’est chouette le blanc !

Alors voilà on se chauffe, on sort la petite robe blanche, on se sent divinement bucolique et… On se dit que ça fait trop longtemps qu’on est assise sur cette chaise en similicuir et que si on se lève, on aura peut-être trempé notre robe qui sera devenue transparente.

6. Le calvaire de la tong

Et bien sûr… Il y a la tong. Qui ? QUI a autorisé la tong au bureau ? Car oui, Jean-Mi, et Monique, dès les premiers soleils, se pointent en tongs. Et ça non, ce n’est pas possible.

C’est un niveau trop élevé d’impudeur. Et voilà que je te montre mes aisselles, et voilà que je te sors mes orteils, non et puis quoi encore ? Tous en maillot au bureau ?

 

Ah tiens, Monique viens d’arriver avec son débardeur en lycra en s’épongeant le front… Pas loin.

 

 

Cérdit photo / Pinterest/BahiaBlancaMode