6 GALERES de CULOTTE dont on se passerait BIEN !

6 GALERES de CULOTTE dont on se passerait BIEN !

Être une femme, c’est quand même parfois vachement chiant. Ne parlons même pas de la discrimination bas du front, des salaires carrément au niveau des genoux et des clichés machistes aux niveaux du caniveau…

Et alors côté culotte, il faut quand même avouer que notre yuki a lui aussi son indépendance et son caractère…

Qui n’a jamais vécu ces petits tracas…

1. Hello it’s me, cystoïa !

Cystoïa, c’est le petit surnom de cystite, cette sympathique camarade qui s’invite comme ça, alors que vous êtes tranquillement assise sur votre chaise de bureau.

Alors on boit des litres de Cranberry, on serre les dents en pissant et on prie pour ne pas avoir à passer chez le médecin car on flippe de faire pipi du sang (bon en vrai, c’est pas si grave, c’est à cause de la bactérie que ça fait ça, mais il faut quand même passer voir son médecin et ne surtout pas laisser trainer.)

2. Coucou fin de règle !

Oh, on pensait que c’était fini, on remettait nos jolis dessous sans protège-slip et… « Ohoh… » Ce n’est pas exactement fini…

C’est toujours un grand bonheur de ruiner ses culottes avec des fins de règles qui s’amusent à nous faire des coucou surprise !

3. L’élastique mou

Chouette soirée possiblement coquine :  on décide de mettre notre culotte fétiche… Oui mais voilà, une fois aux toilettes chez lui, on se rend compte qu’elle n’est plus du tout aussi cool qu’au début…

Ce foutu élastique a décidé d’être mou et de libérer tout un tas de petits fils d’élastique ! Du coup, on dirait que des petits poils sortent de partout…

4. La culotte irritante

Epilation nickel, on est douce comme une marmotte… Et là, dans l’aine, on sent bien que notre culotte frotte un peu trop…

Ça commence à nous faire mal… On regardera ce soir.

Le soir venu, un énorme bouton d’un poil incarné s’est formé grâce à notre culotte agressive ! Et voilà, on va encore passer trois semaines à le guérir à coup d’huile essentielle de lavande, à puer la Provence et quand ce sera fini, tous nos poils auront repoussé.

5. La mycose inquiétante

Qui n’a jamais flippé sa race quand une mycose arrivait et durait un peu trop longtemps… Prise de rendez-vous en catastrophe chez la gynéco car on se demande si on n’a pas chopé une maladie du moyen-âge, frotti, attente des résultats dans l’angoisse, réception des résultats avec angoisse « présence de... » ?!?! Pour finalement avoir le résumé du médecin au téléphone qui nous donne une crème et des ovules… Ah bah merci j’ai perdu dix ans de vie avec tout ce stress.

6. Le maillot traitre

Le vrai calvaire du maillot de bain, ce n’est pas le kilo en trop, c’est le sable, le poil maléfique et l’assise sur la serviette.

Car les maillots de bain sont parfois un peu lâches et lorsqu’on s’assoie… Hey hello le monde !

Il faut quasi tout le temps traquer le vilain poil à la pince épiler, prier pour ne pas avoir de rougeurs post-épilation trop marquées, se laver super vite pour que le grain de sable qui est venir dire bonjour à yuki ne vous fasse pas une mycose et resserrer sans cesse ses élastiques pour qu’une sortie de fesse de s’opère pas…

 

Tout un bordel !

 

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