ALERTE : CONNARD en vue !

ALERTE : CONNARD en vue !

On ne va pas se mentir, vous avez tendance à vous taper toujours les gros lourdauds de soirée… Non, mais pas de panique, nous pareil… Simplement ça commence à nous courir sur le carafon de finir avec le gros salaud qui ne rappelle jamais.

Voici comment le détecter.

1. Sa tenue

On sait, ce n’est pas bien de juger selon les apparences… Mais franchement, quand vous voyez un type sur-sapé, avec chemise col pelle à tarte, barbe rasée de près qui sent l’eau de Cologne pourrie et chaussures imitation croco à bouts carrés… Nous on dit méfiance…

Soit il a un sens très approximatif du style, soit il se prend pour un beau gosse coincé dans les années 80’s et va vous draguer façon Bronzés font du ski… Et vous largué aussi, façon Bronzés !

2. Sa parole

Le gros lourdaud n’a pas une conversation normale et naturelle. Il parle efficacement pour que vous finissiez le plus vite possible dans son lit. Vous aurez bien sûr le droit aux compliments vus et revus du type : « C’est fou, j’ai l’impression de te connaître depuis longtemps. Tu es sûre qu’on ne s’est pas déjà rencontrés ? »

Si, vous l’avez déjà rencontré. 120 fois. Via tous ses confrères lourdauds.

3. Son comportement

Le gros salaud va vous faire des sales coups à peine voilés. C’est là qu’il faut fuir immédiatement et ne pas lui laisser de chance ! Au restaurant, il se débrouillera pour ne surtout pas vous inviter. Avec ses amis, il vous mettra à peine en valeur et rigolera comme un petit fou avec une amie proche… Trop proche.

Et surtout, il laissera toujours entrevoir aux autres qu’il n’est pas vraiment pris.

4. Son regard

Voyez-le dans le métro comme il fait le beau ! Regard hautain, mais toujours dirigé vers la nana en jupe.

Il a l’attitude d’un chien sur un trottoir : il renifle, scrute, lève le nez, replonge dans le caniveau (qui s’appelle dans ce cas un décolleté). Non il n’est pas juste sympathique et ouvert aux autres, il est tout le temps en train de vouloir séduire !

5. Ses potes

Le gros connard a souvent des potes qui le trahissent. Ils sont sans filets et vous font un bref résumé de ce qu’il est en trois phrases : « Eh alors Vince, avec ta p’tite poule, ça l’a fait ? Mouhahahah ». Ils ont des regards entendus entre eux qui vous feront comprendre que vous n’êtes pas la première de la semaine…

 

Crédit Photo : Pinterest