« La Bonne Mère » de Mathilda Di Matteo : plongée au cœur de Marseille et des blessures familiales

Avec La Bonne Mère, Mathilda Di Matteo signe un premier roman qui ne laisse pas indifférent. Entre Marseille, secrets de famille et blessures intimes, elle déploie une écriture sensible et directe qui capte dès les premières lignes. Un récit à la fois brut et tendre, qui interroge ce qu’on hérite… et ce qu’on choisit de devenir.

« La Bonne Mère » de Mathilda Di Matteo : plongée au cœur de Marseille et des blessures familiales

1 – Pourquoi on adore ce livre ?

Parce qu’il nous entraîne dans un décor rarement aussi bien décrit : Marseille, sa Bonne Mère qui veille, mais aussi ses ruelles, ses ombres et ses silences. Mathilda Di Matteo a le don de peindre des personnages d’une justesse implacable, à la fois ordinaires et profondément bouleversants. Son écriture, simple et précise, met en lumière les non-dits familiaux, les blessures qui traversent les générations et la difficulté d’y échapper. On aime la sincérité qui se dégage de chaque page, et cette capacité à mêler la dureté de certaines réalités à une tendresse jamais forcée.


2 – Pour qui est ce livre ?

Pour celles et ceux qui aiment les récits intimes ancrés dans un lieu fort. Pour les lecteurs qui cherchent un roman court mais dense, où chaque mot compte. La Bonne Mère plaira particulièrement à ceux qui aiment les histoires de famille, de transmission, de secrets enfouis. Mais aussi à ceux qui apprécient les plumes qui ne trichent pas : Mathilda Di Matteo écrit sans fioritures, avec une vérité qui percute directement le cœur.


3 – On lit ou pas ?

Oui, absolument. Parce que c’est une belle surprise littéraire, qui réussit à être à la fois universelle et singulière. Et parce qu’une fois refermé, ce petit livre continue de résonner longtemps, comme une confidence qu’on n’oublie pas.




Editions L'Iconoclaste : 20,90€