Les REGLES pour MIEUX VIVRE au TRAVAIL #GrosDégueuOut

Les REGLES pour MIEUX VIVRE au TRAVAIL #GrosDégueuOut

Nous passons en moyenne 97 000 heures au travail. Gloops. Non même, « OH PUTAIN la vache !?!?! » Oui, du coup si on passe nos journées à détester ce qu’on vit, on est mal barrée pour vieillir heureuse et épanouie.

Même si vous sur-adorez-kiffez votre job, vous avez des moments de mou, des moments de « Mais purée c’est pas vrai il peut pas bosser correctement ce glanduuuuuu làààààà » et avez tendance à vous laissez emporter par les glandus plutôt que par le bonheur d’être sur votre siège.

Pour que tout glisse, suivez le guide !

1. Trouver des surnoms au glandu

Vous avez un collègue en ligne de mire ? Une envie irrépressible de l’égorger chaque fois que vous le croisez ? OK, malheureusement (oui on sait bouuuuuh), vous n’avez pas le droit.

Mais mais mais, vous pouvez l’égorger intellectuellement… Lui trouver des ressemblances (alors il ressemble à quoi le vôtre ? Un lamantin ? Une tortue ?) ; lui donner des surnoms (et chaque fois qu’il arrive vous dire : « Tiens Riri la Bedaine arrive encore en retard !)

Non mais c’est con mais vous allez voir ce que ça détend.

2. Avoir un carnet de survie

Vous croulez sous une montagne de travail et votre boss vient vous remettre une couche de « URGENT URGEEEEENT c’est URGENT, prio number one, NUMBER ONE ! » et vous avez juste envie de 1. Hurler très fort en vous tapant la tête 2. Dire « Vas chier grosse bouse » à votre supérieure 3. Vous lever, vous diriger vers la porte et ne revenir… JAMAIS !

C’est là que le carnet de survie va vous sauver : lister ce que vous avez à faire, priorisez, évaluez le temps et sin vraiment ça ne rentre pas dans votre planning, allez voir votre bouse, euh votre boss, et expliquez-lui. Elle devrait se rendre compte qu’il est 18h et que vous ne pouvez pas faire 77 tâches de 4 heures chacune ce soir.

3. Avoir une liste d’amour

Pas d’amour genre je suis une hippie et aime le monde. Mais une liste d’amour pour votre job. C’est vrai quoi, si vous avez eu la chance de choisir votre job, c’est pour quelques bonnes raisons. Listez-les, et dans les coups de mou, rappelez-vous pourquoi vous faites ce travail. Le glandu du fond et la mégère capricieuse n’auront alors plus beaucoup d’importance.

Bien sûr, si votre liste d’amour ne suffit pas, vous pouvez toujours faire une liste de ce que vous détestez absolument-ultra-méga-giga-fort dans votre job. Et peut-être que cela vous incitera à chercher ailleurs… Ou à écrabouiller physiquement le gros glandu.

4. Survivre aux nocifs

Il n’y a pas que vos collègues qui peuvent vous vouloir du mal, il y a aussi… les toilettes et autres lieux communs ! Petit repoudrage de nez aux WC ? Hummm, vous avez l’impression de plonger dans une station d’épuration. Pause déjeuner ? Miam ! Les micro-ondes ont des grains de riz moisis dans le fond.

Plusieurs stratégies sont envisageables : coller des post-its un peu partout pour signaler aux faiseurs de bactéries qu’ils sont observés ; faire un mail général pour dire que demain, 11h, c’est grand nettoyage, et qu’il est inadmissible de laisser les parties communes dans un tel état (ça marche parfois le côté maîtresse d’école) ; devenir grande âme et faire un coup de ménage vous-même (vous pourrez ainsi gueuler tout directement sur celui qui laisse le micro-onde pourri : « Non mais oh l’asticot ?! Tu vas me nettoyer ça, j’ai tout cleaner la semaine dernière ! »)

5. S’enrichir en bossant

Bon, s’ils sont vraiment tous trop insupportables, vous pouvez aussi envisager de vous faire du bien au travail (mais non pas comme ça !!! Roh les esprits tordus…) Vous allez prendre un cours de sport sur le temps de midi ou faire vos emplettes pour être rentrée plus tôt le soir, et vous allez enfourner votre casque en écoutant des podcasts culturels.

Vous aurez fait votre job tout en ressortant plus enrichie qu’à l’arrivée, bingo !

6. Se penser nuage

Lorsqu’un cumulus stresseux arrive jusqu’à vous (oui le glandu, plus Monique l’aigrie, plus la pile de dossiers à gérer) grimpez sur un nuage imaginaire et souriez (mouhahaha, personne ne peut vous toucher vous êtes perchée sur votre nuage)

Vous entendrez tout un tas de piapiapiapiapiapia qui ne vous atteindront pas, là-haut, de votre nuage. En plus c’est mou et moelleux un nuage et vous pourrez en même temps rebondir pour vous marrer.

 

Longue vie dans la Savane !

 

LP.

Crédit Photo / Pinterest