5 bonnes raisons d'ajouter le konjac à son alimentation

Ce tubercule tout droit venu du Japon envoie les pâtes et le riz au tapis. Le konjac est l’aliment minceur super tendance depuis un moment. Si vous n’y êtes pas encore passé, on vous donne 5 bonnes raisons de le tester.

5 bonnes raisons d'ajouter le konjac à son alimentation

    1 - Un aliment hypocalorique 

Si 100g de féculents représentent plus de 90 kcal, la même portion de konjac en contient moins de 10. Pas étonnant que ces nouilles plus light qu’une feuille de laitue attisent votre curiosité. Pour l’ajouter à votre panier, direction le rayon minceur du supermarché. Vous en trouverez également dans n’importe quelle épicerie asiatique.

    2 - Prêt en deux temps trois mouvements

Emballé dans un sachet contenant du liquide, le konjac doit être rincé avant d’être cuisiné. De cette manière, on le débarrasse également de cette odeur gênante d’eau iodée. Enfin, mieux que les pâtes, deux minuscules minutes plongé dans l’eau bouillante suffisent au konjac.

    3 - À marier avec ce qui vous plaira

On se l’avoue, ces petites nouilles n’ont pas beaucoup de goût. Mais parce que le konjac prend celui de ce à quoi on l’associe, autant se lancer dans une préparation bien assaisonnée. Zéro prise de tête, on le cuisine au feeling, avec ce qu’on trouve dans notre frigo. Une touche de sauce tomates et d’herbes de provence par exemple fera très bien l’affaire. Toutefois, si sa texture collante vous paraît peu ragoutante, un passage dans la poêle suffira à le rendre plus croquant.

    4 - L'aliment idéal

Un point problématique quand on est au régime : la satiété. Avec le Konjac, aucun souci, on mange léger, équilibré et pourtant on est rassasié. Autre point fort, vous pourrez dire bye bye à ce ventre ballonné.

    5 - À consommer avec exagération

No limit ! Passée la surprise de la texture caoutchouteuse, vous aurez vite fait de vous habituer. En remplaçant les pâtes et le riz par du konjac, vous verrez progressivement ces kilos superflus s’envoler. Hourra !

Audrey Vaysse

Crédit photo : plurielles.fr