Je GROOVE comme un panda au LIT, que faire ?

Je GROOVE comme un panda au LIT, que faire ?

Les câlins avec Gugus’, avant, c’était de la FOLIE passionnelle. Genre avec des cris de lama du Nirvana, des draps défaits, des lampes de chevet cassées et même des restes de pizzas collées sur la fesse gauche.

Sauf que c’est presque devenu une balade de santé. Oui, je dois dire que je suis devenue un petit mollusque un peu difficile à décoller de son rocher.

Mais je veux redevenir l’antilope rugissante que j’étais et au placard le panda. Plan d’action !

 

1. Les Pilates de l’amour

J’ai décidé de reprendre en main ma libido restée en berne depuis Noël dernier. Et j’en profite aussi pour me reprendre en main moi-même, d’ailleurs ! Alors je me suis mise aux Pilates pendant les câlins avec Gugus’. D’une, ça met du piquant dans nos ébats, parce que ça nous rappelle la galère des parties de « Twister », mais en MIEUX. Et de deux, ça me permet de me galber sans même m’en rendre compte et d’être de moins en moins mollassonne. Sans pour autant devoir m’organiser un créneau « sport » dans ma journée. Panda un jour, flemme toujours, hein.

 

2. L’intégrale de Sex and the City

Je me refais l’intégrale de « Sex & The City », parce que Samantha est LA bonne copine que l’on devrait TOUTES avoir. C’est un peu l’anti-panda par excellence, et rien de tel que de s’imprégner de sa vision de la vie et de l’amouuuur. Ça en fait, des trucs à tester ! Pas le temps d’être raplapla, ça nous fait un sacré programme à rattraper avec Gugus’. ET QUE ÇA SAUTE (enfin, sans jeu de mot, hein) !

 

3. La danse du panda

Je me suis dit que les pandas, bien que plutôt empotés, avaient quand même une sorte de magnétisme presque fascinant… QUI n’aime pas regarder un panda rouler sur lui-même ou rater un câlin avec un autre panda ? Toujours improbable, certes, mais TOUJOURS mignon ! Alors moi aussi, je me suis mise à tenter des petits mouvements absolument pas coordonnés, mais tout aussi mimi.

 

4. Les protéines de l’effort

J’ai décidé de tenter un régime spécial « panda sauvage » : je force un peu sur les protéines à chaque repas, histoire de me transformer en une bête prête à bondir sur sa proie pour la dévorer. Traduction : je suis un vrai ourson prêt à sauter sur ce bellâtre au boxer made in France ! GRRRRRR, treeeemble, Gugus’ !

 

5. L’acceptation

En fait, je me suis dit qu’un panda, quand on y pense, c’est ultra mignon ! Même si on dirait des bébés ours bourrés, complètement privés de bon sens et de coordination. Alors mon côté panda qui groove comme une méduse séchée, c’est aussi mon petit plus à moi, quoi. Et Gugus’, c’est aussi ça qu’il aime chez moi, alors à quoi bon se donner la peine de muer en une bestiole sauvage qui lui fera de toute façon la peur de sa vie en essayant de le croquer ?!

Crédit Photo / Pinterest