SODOMINETTE : NON on ne fait pas ça sinon c'est CRACRA

SODOMINETTE : NON on ne fait pas ça sinon c'est CRACRA

La sodomie est un monde pleins de secrets sur lesquels pèse encore un voile un peu tabou et mystérieux…

Pourtant, elle peut être envisagée comme une pratique sexuelle tout à fait courante, si tant est que les règles de base et d'or sont respectée !

Alors avant de s'y jeter à corps perdu, on récapitule...

1. Garder un SEUL préservatif

Impossible et impensable de se lancer dans une partie de galipettes endiablées sans la présence de notre ami en latex ! Bon, mais quand la sodomie est de la partie, les cartes sont légèrement redistribuées : il faut un préservatif pour chaque type de pénétration. Il existe même des préservatifs plus épais et plus résistants à utiliser pour une sodominette réussie et bien protégée.

Alors on ne joue pas avec les bactéries et compagnie et on change de préservatif entre la pénétration vaginale et la pénétration anale.

2. Trop s'emballer

Quand on est en plein dans le feu de l'action, il est parfois un peu compliqué de calmer le jeu et de réfléchir. Pourtant, sodomie rime avec réflexion. Non ?! Ah bah tant pis. On n'alterne pas n'importe comment les pénétrations, sous peine d'amener des bactéries du rectum dans le vagin et donc des infections urinaires et vaginales au programme…

Mieux vaut commencer par une pénétration vaginale et envoyer Zozo faire une petite toilette de Penizio avant de s'attaquer au nerf de la guerre, si on fait tout ça sans préservatif… Et donc avec dépistages obligatoires avant !

3. Se laisser aller sur l'hygiène

C'est comme pour toutes les autres parties du corps : on se lave correctement histoire de ne pas jouer à tata crado ! Pour l'anus et le rectum, l'eau tiède et le savon doux peuvent suffire. Mais si on se sent particulièrement stressée en pensant aux saletés éventuelles, on peut acheter une poire à lavement en pharmacie pour nettoyer en profondeur les zones qui vont être mises à l'épreuve.

Par contre, pas de lavement trop souvent sous peine de pertuber la flore de Rectuminet, qui n'en demandait pas tant.

4. Se resservir du couscous

On a longtemps hésité devant le plat de semoule et on a fini par se resservir du couscous parce qu'on adooooore ça ! Problème, maintenant on ne se sent pas hyper légère et enthousiaste à l'idée d'aller cavaler sous la couette avec Zozo…

Glamour toujours : on file aux lieux d'aisance avant de se lancer sans une sodominette sensuelle pour avoir les intestins aussi vides que possible et éviter les mauvaises surprises post-pénétration...

5. Être trop impatiente

Certes, maintenant qu'on a testé, on sait que la sodominette ça nous plaît plutôt bien alors on a décidé d'étendre un peu l'épilation de Yuki, pour parer à toute éventualité. Mais attention, on ne pratique pas une sodomie illico après une épilation car les petites lésions que celle-ci a peut-être provoquées sont une porte d'entrée parfaite pour les infections et maladies sexuellement transmissibles !

 

 

Et puis de toute façon, tout vient à point à qui sait attendre !

Crédit Photo : Instagram